PRÉSENTATION

histoire les dames de la loire

Notre histoire

Sébastien et Sarah

Chef et gérante

Il y a 20 ans, Sébastien obtenait son CAP de cuisinier qui a su lui transmettre l’amour de la cuisine.  Aventurier, il part en Angleterre sans connaitre un mot de la langue de Shakespeare. Ayant de bonnes bases, il commence commis, puis sous-chef et enfin chef en relais et château. Installé à Nottingham, pendant 9 ans il décide enfin de retourner en France, mais dans le sud où il rencontrera Sarah.

Sarah a un parcours atypique. Née en Nouvelle Zélande, elle voyage en Angleterre et à Paris pour travailler dans le milieu de la mode. Puis la conjoncture fait qu’elle devient serveuse puis responsable de salle dans un grand bar à vins à Paris.  Puis, la mer et le soleil font appel et elle quitte Paris pour le Sud de la France, une autre aventure commence.  Amoureuse de la France et de sa gastronomie, des grands plats aux grands vins il n’y a qu’un pas entre les grandes robes et robe du vin !

Ils se rencontrent sur leur lieu de travail et à la suite du vent de ceci, ils décident alors de prendre une gérance ensemble et c’est à Eze à l’Auberge de la Croix du Pape qu’ils s’installent. Une cuisine authentique faite de produits locaux, cuisinés au feu de bois avec une carte des vins de terroir. Au bout de quelques temps, ne pouvant racheter les murs de leur restaurant, ils décident de partir.

Retour en Nouvelle Zélande afin de faire connaitre aux enfants leurs racines. Sébastien travaille alors pour un grand groupe hôtelier avec de grandes responsabilités et est heureux de ce challenge. Sarah est responsable de restaurant dans un hôtel de luxe. Mais au bout de 7 ans, quand on a gouté à l’indépendance et surtout travaillé ensemble (ce qui n’était plus le cas), l’envie de bouger réapparait !

Le troisième enfant pour commencer ! Cela ne suffit pas ! Alors ils cherchent et cherchent encore autour d’eux pour s’installer. Et sur le net, Sébastien voit une gérance à prendre à Saumur. La description lui rappelait un restaurant qu’il connaissait bien : celui de Claudie.

Il ose appeler d’aussi loin. Quelques coups de fils, quelques Skype et mails s’en suivent. Pendant un an, chacun prépare ce moment de son côté. Une Nouvelle Histoire s’écrit alors au Restaurant Les Dames de la Loire.  Un petit air d’exotisme souffle à travers les exigences du cadre et le maintien par Claudie.

Et la suite de l’histoire se construit – depuis 2018 Sébastien prend en charge la cuisine.  Il continue d’assurer le bon fonctionnement de la cuisine et ainsi l’entreprise.  Petit à petit, il rajoute des touches personnelles aux menus proposés aux clients.  En faisant ces changements tout en douceur, on a gardé la clientèle fidèle et gagné des nouveaux.  On a gardé des recettes incontournables (comme notre pain !) tout en rajoutant des touches personnelles et créatives, et à coté en rajoute des nouveautés.  Donc une cuisine qui change et évolue avec les saisons et innovations de la carte.

Cette transmission d’entreprise continue d’être assurée par un partenariat à trois entre Sébastien, Sarah et Claudie.  Depuis juillet 2020 tous les trois nous continuons à évoluer et développer les idées, tout en gardant l’esprit de Les Dames de la Loire.

flavicon les dames de la loire

Claudie

Sommelière et gérante

Sommelière depuis plus de 30 ans, Maitre Sommelier, Meilleur Jeune Sommelier de Bourgogne et de Franche Comté 1990 elle est animée par la dégustation du vin depuis toujours. Pour elle, il faut l’écouter car il parle !  Il parle d’une histoire, d’une civilisation, d’une culture, d’une histoire, d’un paysage. Il est transgénérationnel ! Il lui vient de ses souvenirs d’enfance ou à chaque repas de famille un millésime faisait remonter le temps avec des scènes familiales de cette année là, ce qui engendrait rires et convivialité même au delà des querelles ! Quelle magie ! Puis ce droit d’avoir du vin rouge avec le fromage, une fois que l’on avait fait sa communion ! C’était la fierté d’avoir quitté enfin le monde de l’enfance ! Le vin c’est divin !

Comment ne pas en faire son métier quand on est formaté comme cela. Elle a voulu être œnologue, on le lui a interdit car « ce n’est pas un métier pour les filles ! ». Epicurienne, elle choisi la restauration comme formation. Et là, elle découvre un métier qu’elle ne connaissait même pas : sommelier. Elle en parle à son prof de restaurant en fin de BEP et il lui dit « ce n’est pas un métier pour les filles ! Là, c’en est trop ! Elle poursuit ses études dans une classe ou il y a une mention sommelier et elle va jusqu’au bout.

Elle a appris avec le temps que pour parler du vin il fallait bien se connaitre et ne pas se mentir à soi-même car apprendre aux autres à mettre les mots justes sur les sens olfactifs et gustatifs nous fait parler de son propre soi. Et pour elle tout le monde peut déguster car nous avons tous cette mémoire cellulaire cachée au fond de nous puisque le vin existe depuis l’âge de bronze. Il suffit de la réveiller. C’est ça aussi son idée aider les gens a mieux se nourrir en utilisant le vin comme outil.

Dynamique, elle aime autant méditer que jongler dans une salle de restaurant entre les vins aux verres, les carafages et d’associer les plats avec les vins.

Grande épicurienne, défenseuse de la culture du goût, ne lui dites surtout pas que le vin c’est de l’alcool ! Car là, du haut de ses 1.50m elle risque, de fumer par les oreilles ! Mais elle vous dira sagement que « le vin est fait pour être partager, l’alcool pour être brûler ! On dit une eau de vie de vin, de framboise, de poire. Celui qui veut se brûler ce n’est pas du vin qu’il va boire ! »

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